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Le bataillon Djiboutien HILL 2 en partance pour la Somalie clôture une formation marquée par la remise de 15 véhicules blindés MRAP Cougar de l'armée américaine.

 

 

DJIBOUTI, 22 avril (Xinhua) -- Le deuxième contingent djiboutien en partance pour la Somalie dans le cadre de la Mission de l'Union Africaine en Somalie (AMISOM) a clôturé lundi au camp Maryama une formation du programme militaire américain ACOTA.

Cette session de formation dispensée par des experts de l'armée américaine était axée sur les domaines de la logistique, les connaissances des règles d'engagements dans les missions de maintien de la paix et d'autres spécialités telles que le secourisme et les actions contre les engins explosifs.

La clôture de cette formation était également marquée par la remise de 15 véhicules blindés MRAP Cougar de l'armée américaine au second contingent djiboutien qui se prépare à partir en Somalie dans les prochaines semaines. Ces véhicules militaires sont dotés d'un dispositif anti-mines et peuvent transporter des troupes dans les meilleures conditions de sécurité, selon les spécialistes.

 

 

Djibouti, qui partage une frontière commune avec la Somalie, a envoyé depuis 2011 un premier contingent de 1.000 hommes dans ce pays meurtri par deux décennies de guerre civile sous la bannière de l'AMISOM.

 

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Djibouti : Le chef du bataillon HILL 2, suspendu pour avoir réclamer les équipements octroyés par US-Army pour le déploiement de son bataillon en Somalie.

 

 


En effet le bataillon HILL 2 sous le commandement de ce brave Colonel ABDOULJABAR HASSAN IBRAHIM, est destiné a remplacé le bataillon #HILL1 actuellement en Somalie.

Pourquoi cette suspension ?

Le Colonel ABDOULJABAR HASSAN IBRAHIM serait accusé par le haut commandement de l'armée Djiboutienne d'avoir commis un seul et unique péché : Réclamer avant leur départ pour la somalie les équipements destinés aux hommes de son bataillon HILL 2 et octroyés par les américains!

D'après AdjibPress, ce brave colonel ABDOULJABAR aurait refusé de recevoir du matériel de très basse qualité en provenance de la CHINE et du YÉMEN. Ses matériels pouvant mettre en danger la vie des ses hommes face aux feux des Al-Shabaab !

Mais pourquoi on leur donne pas les équipements américains fournit dans le cadre de cette mission ?
Tout simplement, ces derniers seraient consignés dans les réserves du camp militaire du Cheick Osman (CCO) et à WEAH.

Par cet acte irresponsable & suicidaire, le haut commandement de l'armée djiboutienne, a démontré encore une fois de plus, la place et l'importance quasi inexistantes, à leur yeux de la vie de nos braves militaires.

« Messieurs les généraux, je ne suis pas de ces colonels qui acceptent de sacrifier la vie de ses hommes pour vous faire plaisir », c'est avec ces mots que le colonel ABDOULJABAR quitta la salle de réunion.

Mais qui est cet homme ? 


Il est a rappeler que cet homme, haut de ses 2 mètres, imposant de part sa carrure et son sens du devoir est un ancien commando parachutiste.
Très réputé pour son savoir-faire tactique et surtout accepté par ses subordonnées pour son leadership inégalé dans un état major ou des faux colonels sont récompensés pour leur docilité à exécuter même les ordres les plus suicidaires mettant en danger leurs hommes.

« Il est beau qu'un soldat désobéisse à des ordres criminels » [Oscar Wilde]

« Je gagne mes batailles avec le rêve de mes soldats » [Napoléon Bonaparte]
Cependant, un soldat privée de ses équipement fiables, serait-il capable de se faire un rêve ?
Et sans ce rêve, nos bataillons de HILL 1 et 2 seront-ils capables de gagner cette guerre contre les extrémistes Al-Shabaab ?

Enfin nous vous laissons estimer par vous même la valeur allouée à la vie de nos soldats en somalie dans la stratégie d'intervention militaire de notre administration.


Mes respects à ce colonel.

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Clash ce matin a la réunion de l’état-major de l’armée djiboutienne


Le ton est vite monté d’un cran ce matin à la réunion organiser à l’état-major de l’armée entre le général Zakaria, patron de l’armée, et le colonel Abdouljabar Hassan Ibrahim qui est le numéro deux du détachement ISBRIG installer en Ethiopie. Ce dernier a refusé de réceptionner les vieux matériaux de guerres destiné au deuxième détachement de l’armée djiboutienne qui doit partir en Somali bientôt.

Le détachement HiLL 2 est prêt à partir et l’armée américaine leur a donné des matériels tout neuf. Sauf que le général Zakaria s’est interposé en refusant que ce matériel soit utilisé par nos soldats en Somali à Beledweyne. Le colonel Abdouljabar a refusé de prendre les vieux matériaux provenant des stocks de l’armée chinoise qui ont de plus en plus des difficultés à fonctionner et plus grave encore dans une région poussiéreuse telle que Beledweyne.

Après quelques échanges de paroles lancés d’ici et là au cours de la réunion le colonel Abdouljabar fut suspendu de son commandement jusqu’à nouvel ordre. Il est assigné à résidence surveillé au camp Guedi-Gaab de l’armée dans la caserne du régiment du bataillon du quartier général. Lors de cette réunion organisée à l’état-major de l’armée, le colonel a refusé de prendre sous sa responsabilités le deuxième détachement de l’armée dénommé HiLL 2 en raison des risques gratuites et prémédités que le haut état-major de l’armée les faisaient courir dont en premier la livraison des matériels de guerre inadaptés à la réalité du terrain.

Le colonel a refusé de prendre ce commandement lors de la réunion hebdomadaire organisé tous le mercredi à l’état-major de l’armée. Le colonel Abdouljabar Hassan Ibrahim est le 1er djiboutien sortis de l’école militaire de saint Cyr en France promotion Rochefort. C’est un grand Kourougmen, il s’est disputé plusieurs fois avec le général Zakaria qui n’a lui aucun diplôme mais placé et promis sur des critères claniques.

Beaucoup des djiboutiens se demandaient ces derniers temps la raison exacte qui a poussé IOG a envoyé autant des matériels et des hommes en Somali alors que le pays est toujours en guerre avec son voisin immédiat, l’Erythrée.

Ce projet de HILL n’est-il pas un moyen très simple de nettoyer de l’armée nationale les effectifs qui inquiète ou semble difficile à manipuler pour Ismaël Omar Guelleh ?

Abdi.C