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source: palingenesie.com

 

Accusé CO2 levez vous
Le pavé dans la marre! (J-M Bonnamy)

bonnamy.JPGJean-Marc Bonnamy résume la thèse du GIEC comme suit : la terre se réchauffe, ce réchauffement entraînera des catastrophes, il est dû à l’effet de serre du CO2 et ce dernier résulte du développement de l’activité humaine. Et, il entreprend de démontrer, dans les premiers chapitres de son livre, qu’un phénomène physique de saturation de l’effet de serre, que personne ne nie, exonère le CO2, au-delà de ce qu’il accomplit déjà, de toute incidence dans un quelconque réchauffement climatique au sens dans lequel le GIEC l’entend et que, si tant est qu’il y a réchauffement de la terre, c’est ailleurs qu’il faut en chercher la raison. L’auteur en propose quelques pistes de réflexion dans Réchauffement climatique : Le pavé dans la marre ! ».

Mais, au fait, comment le GIEC s’y est-il pris pour calculer la température moyenne dont il prétend qu’elle a augmenté d’environ 1° C au cours du dernier siècle ? Il s’est servi de données relevées à des dates et endroits divers par des stations météorologiques disparates, données qu’il a traitées (sans en communiquer la manière) et dont il a établi une moyenne qui est une fiction puisqu’une moyenne de températures n’est pas une température moyenne. Et, les objectifs de limitation de ladite température qui en découlent sont absurdes, outre le fait que les échelles de température Celsius et Fahrenheit sont arbitraires. Si l’on entend parler scientifiquement, ne conviendrait-il pas de parler en Kelvins ?

Jean-Marc Bonnamy dit sa surprise d’avoir constaté dans les rapports du GIEC disponibles sur la toile combien le rapport pour les décideurs politiques s’affranchissait des rapports scientifiques qui étaient supposés lui servir de base. Quand bien même les scientifiques admettent qu’aucune donnée ne permet de confirmer la réalité d’un réchauffement climatique, ni d’attribuer ce réchauffement à l’activité humaine, cela devient dans le rapport destiné aux décideurs politiques « le réchauffement climatique ne fait aucun doute et son attribution à l’activité humaine est prouvée ». Qui convient-il de croire ? Le GIEC ou le GIEC ? « Il faut cesser de considérer le GIEC comme un établissement scientifique, conclut Jean-Marc Bonnamy, et le prendre pour ce qu’il est : un lobby politique. »

C’est en ce sens que se comprend la décision du président américain Trump de retirer les Etats-Unis de l’Accord de Paris sur le réchauffement climatique.

Le chiffre de 0,6 °C de réchauffement de la planète sur un siècle avancé par le GIEC sans intervalle de précision dans son rapport initial signifiait que la donnée comportait une précision de l’ordre de l’arrondi de la décimale suivante, en d’autres mots que le GIEC prétendait à une précision de l’ordre de 0,05° – 5 centièmes de degré ! Mais, outre ce chiffre d’une précision invraisemblable, le GIEC en a avancé d’autres qui étaient notoirement faux. Jean-Marc Bonnamy en dresse une liste. Les constructivistes, quel que soit l’horizon idéologique auquel ils appartiennent, ne sont jamais à court de conjectures, ni d’aplomb.

Le problème fondamental n’est-il pas que le climat, comme la météo, est un phénomène chaotique, c’est à dire ni stationnaire, ni cyclique, qui dépasse les limites épistémologiques de la connaissance humaine car il comprend un nombre infini de variables connues et inconnues d’une précision infinie dont le déterminisme inhérent se manifeste sur des durées de plusieurs milliers, dizaines de milliers, centaines de milliers d’années et échappe totalement à l’entendement humain ?

Reste à écrire le livre sur la question de savoir à quoi servent et, surtout, à qui profitent le GIEC ainsi que les accords, les politiques et l’agit-prop écologiste qui s’en prévalent.

« Réchauffement climatique : Le pavé dans la marre ! » (Jean-Marc Bonnamy), 164 pages, Editions L’Harmattan.

Jean-Marc Bonnamy qui est ce?

[video]https://youtu.be/iG9_WQTOJ1Q[/video]

[video]https://youtu.be/S6y8rcpa-bk[/video]

[video]https://youtu.be/ccHzyGcwy1w[/video]