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Veulent-ils encore plus de chômage ?!

La nouvelle édition du Delamarche est parue...

 

Chère lectrice, cher lecteur,

William Dudley, le numéro 2 de la Réserve Fédérale Américaine —la banque centrale— a lâché le morceau la semaine dernière : si nous n'augmentons pas les taux d'intérêt "le risque serait que l'économie s'installe à un niveau trés trés bas de chômage et que cela génère de l'inflation".
 
De quelle inflation parle Dudley ? Les banques centrales ne luttent-elles pas justement contre la déflation ?
 
C'est qu'il faut faire la distinction entre deux types d'inflation : il y celle des prix et celle des salaires.
 
Quand il s'agit de dépenser, les prix peuvent bien monter mais quand il s'agit de gagner un peu plus pour faire bouillir la marmite... ils vous en empêchent et l'annoncent publiquement.
 
Voici donc l'objectif officiel de la Fed : maintenir les salaires à un niveau suffisament bas afin de ne pas entamer les marges des entreprises.
 
Faut-il préciser que M. Dudley est —lui aussi— un ancien de la banque d'affaires Goldman Sachs ? Qu'on ne s'étonne pas du cynisme de ces gens.
 
Ce sont les salariés qui doivent porter les coûts faramieux de la crises, pas les riches actionnaires, fonds spéculatifs et milliardaires (dont les fortunes n'ont d'ailleurs jamais augmenté aussi vite que depuis la crise).
 
Ce qui semblait être une fatalité est en fait une construction, le fruit d'une stratégie délibérée.
 
On fait littéralement semblant que le chômage baisse pour justifier un tour de vis sur des populations pourtant de plus en plus pauvres.
 
La méchante fake news du chômage, voici le thème de la nouvelle édition du Delamarche, le journal mensuel d'Olivier Delamarche : impertinent, politiquement incorrect mais si juste et utile pour ceux qui veulent comprendre ce qui se passe réellement dans nos économies qui semblent marcher sur la tête.
 
Cette nouvelle édition du Delamarche est envoyée le 28 juin aux nouveaux abonnés. 
 
Et ce n'est pas tout, elle est accompagnée d'une conférence en ligne, mercredi 28 juin à 19h avec Olivier et moi-même.

Pour recevoir votre exemplaire et assister à cet web conférence il suffit d'ajouter votre nom à la liste des abonnés du Delamarche avant mardi prochain, 27 juin minuit.

Le Delamarche est un journal pour les gens qui en ont marre qu'on les prennent pour des c*** et dont on attend en plus qu'ils en soient reconnaissants.

Vous allez découvrir dans cette lettre cette élite au pouvoir qui se cache au grand jour. Vous comprendrez d'où vient ce sentiment diffus de malaise, ce quelque chose qui ne tourne pas rond depuis trop longtemps.

Une fois que vous aurez réalisé l'étendue de leur emprise, que vous aurez vu l'image de leur puissance se former devant vos yeux. Alors vous comprendrez comment le monde se plie à leur volonté.

Dans un instant, vous verrez comment ils exercent leur pouvoir sur votre liberté et sur vos finances. Comment ils ont pris le contrôle de ce que vous avez le droit de gagner et de dépenser...

Vous comprendrez. :

  • Pourquoi votre bulletin de vote n'a que peu d'importance ;
  • Pourquoi la plupart des Français ont ce sentiment que rien ne va plus malgré tous les soi-disant "progrès" des dernières décennies (et pourquoi les salaires ont été gelés depuis les années 1990).
  • Pourquoi les plus riches se sont enrichis sept fois plus vite que la population depuis 50 ans ;
  • Comment vos libertés les plus basiques sont rognées jour après jour ;
  • Comment la BCE a mené le hold-up du siècle et vous a "braqué" de 500 milliards d'euros depuis 2008 pour les transférer aux banquiers et hommes d'affaires, ceux-là mêmes responsables de la crise et qui se sont enrichis sur votre dos et avec votre consentement implicite.

Enfin et surtout vous verrez pourquoi les différentes élections en Europe ne pourront pas grand chose contre l'effondrement financier qui vient.


"L'Euro est mort", Olivier Delamarche.

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Je reproduis ici une intervention "coup de poing" d'Olivier Delamarche sur BFM Business. Comme il le dit lui-même, Olivier Delamarche est un analyste financier qui sait traire une vache : il a les pieds sur terre.

Depuis bientôt 10 ans, Olivier Delamarche apporte la contradiction sur cette chaîne d'informations économiques et voici ce qu'il disait il y a quelques semaines :

«Ils vous avaient dit que le problème bancaire était réglé et pourtant la plus vieille banque italienne a fait faillite l'année dernière.

Ils vous avaient dit qu'ils avaient mis des contrôles, des tests de robustesse. Qu'ils avaient fait tout ce qu'il fallait pour que cela n'arrive plus.

Ils vous avaient dit que l'Espagne c'était fini que la vie y était belle : non ce n'est pas fini ! Non la vie n'est pas belle en Espagne. Rien n'est réglé.

Arrêtez de penser qu'on peut tout régler systématiquement en imprimant des billets.

Quand on imprime, quand on fait marcher la planche à billet, il y a un retour, violent qui se fait à un moment où à un autre.

Soit on vous confisquera purement et simplement vos économies, soit vous aurez un effondrement des monnaies parce qu'à force d'en créer elles ne valent plus rien.

Quand vous aurez un effondrement des monnaies on aura de l'hyper-inflation et on sortira tous avec des brouettes de billets pour aller acheter sa baguette.

Il n'y pas de solution intermédiaire.

Ils prennent les gens pour des c***s et ça marche.

C'est un vrai braquage.

Il y a cette religion sur l'Euro il ne faut pas toucher à l'Euro. Mais l'Euro est mort.

Vous aurez un défaut de paiement généralisé qui prendra une forme ou une autre. Mais il aura lieu.

Si aujourd'hui les gens n'ont pas compris que ni leur épargne ni leur compte en banque n'étaient absolument pas en sécurité dans nos pays qui sont surendettés... »


Ils veulent la fin des classes moyennes

La crise actuelle, c'est la mise à mort des classes moyennes.

La crise actuelle, c'est votre mise à mort.

L'émergence des classes moyennes en Europe fut le meilleur barrage au communisme.

En 1945, le parti communiste français est le premier parti de France, on l'appelle tout simplement "Le Parti". Les socialistes sont au pouvoir au Royaume-Uni. L'Allemagne est coupée en deux. L'Europe de l'Est est déjà incorporée à la sphère communiste.

La menace d'un basculement de l'Europe de l'Ouest est aussi naturelle qu'imminente.

Le plan Marshall venu des États-Unis pour aider l'Europe à se reconstruire n'est pas seulement financier, il est aussi technologique et culturel. De nombreux voyages sont organisés aux États-Unis d'où les entrepreneurs Français reviennent avec les idées, les technologies et les financements nécessaires afin de rendre le "miracle des Trente Glorieuses" possible.

Les chansons de Claude François sont directement traduites des tubes américains : Belles, belles, belles... Cette année-là... Je vais à Rio...

L'éducation, la santé, la sécurité sociale, toutes ces avancées aussi rapides et inédites dans l'histoire de l'humanité ne peuvent se comprendre sans la tension intense et la guerre hégémonique à laquelle se livrent l'Est et l'Ouest.

Mais le monde a changé en 1991 avec la fin du communisme et de la guerre froide.

L'ennemi était vaincu mais cette classe moyenne, c'est-à-dire vous, avait pris des goûts de luxe : le pavillon en banlieue, la voiture, l'école gratuite, l'hôpital gratuit, les congés, la retraite généreuse...

Voici ce qui allait se passer : ces luxes, vous alliez dorénavant vous les payer vous-mêmes de deux manières : par la dette et les impôts.

Mais ne comptez pas sur les milliards des Arnault, Pinault, Dassault, Bolloré, Rothschild, Drahi et autres grandes fortunes françaises pour y contribuer : eux, ne paient pas l'impôt, eux ne remboursent pas la dette.

Bien au contraire, eux aussi se sont endettés, mais pas pour maintenir leur niveau de vie. Pendant que vous luttez pour mettre de côté quelques économies, eux se sont endettés pour mettre la main sur le réel : la terre, l'immobilier, les entreprises, les grands vins de Bordeaux, les médias etc...

Le dernier en date, c'est Patrick Drahi.

Il y a 3 ans, Patrick Drahi était un parfait inconnu. Il est aujourd'hui à la tête d'une fortune estimée à 13 milliards de dollars (par le magazine Forbes), soit la 5e fortune française.

EN 3 ANS !

Il est le propriétaire de l'opérateur téléphonique SFR, de Numéricable, du journal Libération, du groupe de presse L'Express et il est sur le point de racheter BFM TV et RMC. Et ça ce n'est que pour la France.

Patrick Drahi réside en Suisse (pour raison fiscale), où il détient pour plus de 100 millions d'euros d'investissements immobiliers de luxe. Son groupe est domicilié en Hollande (pour raison fiscale) via sa "holding personnelle" à Guernesey (encore un paradis fiscal).

Comment a-t-il réussi cette prouesse ?

Nul doute que M. Drahi est un homme très intelligent. Mais ce qui a permis son ascension si rapide, c'est la dette.

Son groupe Altice a une dette de 33 Mds d'euros mais ne vaut que 30 Mds d'euros en bourse.

C'est à-dire que si on liquidait son groupe demain, les actionnaire ne toucheraient pas un centime, ils devraient de l'argent !

C'est normalement un signe de mauvaise santé d'une entreprise.

Mais les banques ont inventé plus de 30 milliards d'euros à Patrick Drahi.

Car il faut bien comprendre que les banques ont créé cet argent de toute pièce. Elles l'ont "imprimé" pour l'occasion.

Si elles ont pu imprimer tout cet argent c'est que la mère de toutes les banques de la Zone Euro, la  Banque Centrale Européenne les y encourage par une politique monétaire "ultra-accommodante".

Traduisez : si vous faites n'importe quoi, on vous sauvera toujours. Vous avez déjà vu un grand banquier français aller en prison ?

Mario Draghi, Président de la BCE (à ne pas confondre avec Patrick Drahi), est un ancien de la banque d'affaire Goldman Sachs. Il en dirigeait le département qui s'est chargé de maquiller les comptes de la Grèce pour qu'elle puisse rentrer dans l'euro. Toutes ces informations sont publiques et Mario Draghi n'a jamais été inquiété...quand je vous dis qu'ils se cachent en pleine lumière...

Mais pourquoi les banques commerciales, soutenues par la BCE et la Réserve Fédérale américaine, ont-elles créé cet argent à Patrick Drahi plutôt qu'à vous ?

Parce que Drahi est un "cost killer".

Il le dit lui-même, il n'aime pas payer les salaires et il n'aime pas payer les factures.

Des journalistes du magazine Challenges ont enquêté sur son empire :

Personne ne doit savoir que le propriétaire de Numericable-SFR a déjà acheté deux chalets (à Zermatt en Suisse) pour 45,7 millions d'euros [...] L’as de la finance veut rester discret au moment où il exaspère les clients de SFR par la piètre qualité de son réseau. Et surtout, alors qu'il impose à ses troupes de lourds sacrifices. A "Libération", Patrick Drahi a supprimé un tiers des effectifs. Au sein du groupe Express-Expansion, il s'apprête à sabrer 90 postes après avoir déjà signé 115 départs volontaires sur un effectif initial de 700 salariés. Et chez Numericable-SFR, où le nouveau tycoon des télécoms s'est engagé à ne pas licencier avant 2017, les syndicats évaluent à 700 le nombre d'emplois supprimés par le biais des départs volontaires ou non remplacés.

Et voilà la boucle est bouclée : la banque prête de l'argent à Patrick Drahi. Avec cet argent il rachète entreprise sur entreprise avec la bénédiction des pouvoirs publics où il coupe les coûts de manière agressive... Non pas pour fournir un meilleur service à un meilleur prix mais pour accroître sa fortune.

L'argent quitte la sphère des classes moyennes pour accroître celle des super riches.

Ils écrasent les classes moyennes en poursuivant leur intérêt personnel et en s'assurant que la concurrence qu'ils imposent aux autres ne s'applique pas à eux-mêmes.

Car l'intérêt d'abattre la classe moyenne n'est pas seulement financier. Pour cette génération d'entrepreneurs qui sait combien les fortunes se font et se défont rapidement, l'objectif est aussi d'empêcher tout nouveau concurrent d'émerger et de choisir les quelques rares qui ont le droit d'accéder à la planche à billets afin d'accroître encore leur hégémonie.

À vous il ne reste que la dette.

Mais si seulement ils n'en voulaient qu'à votre argent...


Ils veulent la guerre

Qui a brisé l'équilibre précaire de l'Afrique de Nord et du Proche-Orient ?

Qui a envahi la Libye ? Qui a soutenu les Printemps Arabes et pour quel résultat ? Qui a armé les rebelles en Syrie sous prétexte qu'ils étaient "islamistes modérés" ?

Qui a fait des ponts d'or à l'Arabie Saoudite et au Quatar qui financent en sous-main le terrorisme islamiste ?

Il y a là quelque chose qui dépasse l'entendement.

Mais le terrorisme et l'afflux incontrôlé de migrants qui touchent l'Europe trouvent leur source dans les décisions mêmes de la diplomatie européenne et occidentale.

Sous prétexte de faire "souffler un vent de démocratie", ils ont donné un baiser de mort à la Syrie.

Ils ont brisé nos frontières. Ils ont amené cette guerre au sein même de nos villes, à votre porte.

Et ce n'est pas encore fini... Ils veulent que vous approuviez. 


Ils veulent votre soumission

Ouvrez le journal Le Monde... il appartient à Messieurs Pierre Bergé (l'homme d'affaire et compagnon d'Yves Saint-Laurent), le banquier d'affaire Matthieu Pigasse et le milliardaire Xavier Niel de Free (accessoirement aussi gendre de Bernard Arnault de LVMH).

Ouvrez Le Figaro... Il appartient à la famille Dassault.

Ouvrez L'Express... C'est Patrick Drahi, Libération aussi et bientôt BFM et RMC.

TF1 et LCI c'est Bouygues, Canal Plus c'est Bolloré tout comme Direct Matin et la chaîne Direct 8.

Et j'oubliais Bernard Arnault qui possède Les Échos et Le Parisien, Arnault Lagardère avec Match, Europe 1 et des chaînes du câble et Pinault avec Le Point.

Ce n'est pas compliqué, il n'existe plus un grand média qui ne soit passé sous le contrôle d'un homme d'affaire.

Même Valeurs Actuelles est la propriété d'Iskandar Safa, une des plus grandes fortune du Liban.

Il n'existe plus un grand média qui appartienne à sa rédaction.

Et ce n'est pas tout, ils monopolisent aussi le monde de la culture.

Le patron français de la banque d'investissement Lazard, Matthieu Pigasse, vient de racheter un des plus gros festivals de France : "Rock en Seine". Il détient déjà le magazine Les Inrockuptibles et Radio Nova. Alors bien sûr, on loue le banquier rock'n roll. Mais la vérité c'est qu'il compte bien gagner beaucoup d'argent en créant un "groupe spécialisé dans les contenus premiums". Et surtout il avoue lui-même presque candidement :

"C'est aussi un projet politique: nous utilisons l'éducation et la culture pour changer le monde"

Et si vous n'aimez pas la culture rock, eh bien tant pis pour vous, il faudra vous y faire.

Et cela pose un énorme problème.

Celui de "la soumission au conformisme".

Je vous donne un exemple très simple, tiré d'une expérience célèbre des années 1950.

Regardez le dessin ci-dessous et dites-moi si le segment X est aussi long que le A, le B ou le C :

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Je suis sûr que vous avez immédiatement répondu comme les cobayes de l'expérience de Ashe en 1951 : voyons c'est le B bien entendu.

Mais le psychologue Salomon Ashe avait une autre idée derrière la tête. Il réunit 6 complices parmi lesquels il plaça ses cobayes les uns après les autres.

Il recommença l'expérience mais en groupe. Les complices du psychologues donnaient systématiquement une mauvaise réponse. Ils disaient tous A alors qu'il était évident que la bonne réponse était B.

Eh bien quand arrivait le tour du cobaye, lui aussi disait A, une fois sur trois (32% des cas précisément). 

C'est ça la soumission au conformisme.

Vous savez que vous dites une grosse bêtise mais comme tout le monde dit pareil, vous préférez faire comme tout le monde que de prendre le risque d'avoir raison...

Rapportez cette expérience à l'échelle de l'élection actuelle... Ai-je encore besoin de vous faire un dessin ?

Quand un homme d'affaire rachète un journal, il ne participe pas au pluralisme des médias, il ne fait pas une bonne oeuvre, il fait de l'influence.

C'est ainsi que la société des journalistes  du magazine économique Challenges s'est récemment plainte dans un communiqué de presse "d'interventions multiples et déplacées auprès de la direction et de l'équipe web suite à la parution d'un article critique à l'égard d'Emmanuel Macron".


Entrez en résistance

L'ONG Transparency International a révélé les exactions honteuses de la BCE. Dans des lettres secrètes, la BCE menaçait de couper les liquidités à l'Irlande, la Grèce, l'Italie et l'Espagne s'ils ne mettaient pas en œuvre les réformes qu'ils leur imposaient.

Cette information n'a absolument pas été relayée dans les médias français.

Vous auriez pu la lire dans le journal d'Olivier Delamarche.

On l'appelle "Le Delamarche" et son édition spéciale sur l'Euro n'y va pas par quatre chemins. Ça commence comme ça : "l'Euro est mort, il ne reste plus qu'à le constater".

Aujourd'hui, ce que vous devez faire c'est prendre des mesures pour vous protéger à titre personnel.

Ces mesures ne sont d'ailleurs pas très compliquées et la première d'entre elle n'est pas différente du coup de De Gaulle lorsqu'il envoya sa frégate pleine de dollars pour les changer contre de l'or.


1er CONSEIL : Investissez dans la monnaie qui ne meure jamais

J'ai préparé un dossier pratique sur la seule monnaie qui a traversé les millénaires : l'or.

On frappait déjà des pièces d'or à Varna en Bulgarie il y a 7 000 ans. Depuis l'or n'a jamais cessé d'être une monnaie.

Les monnaies de papier au contraire sont des feux de paille qui ne durent que quelques années, un siècle au mieux... avant leur destruction ainsi que la valeur que vous y aviez mis péniblement année aprèse année (page 2).

Les détracteurs de l'or vous diront que c'est un mauvais investissement. L'or n'est pas un investissement comme les autres, c'est la meilleure des assurances.

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Vous lirez dans ce dossier l'histoire de ce banquier américain qui fit fortune au début des années 1970 (page 3).

Il avait compris mieux que tout le monde le cycle des monnaies, comment elles se créent naturellement sous différentes formes et aussi comment se détruisent et meurent.

Vous comprendrez à quel moment exact nous sommes du cycle monétaire actuel (page 5).

Surtout lisez l'avertissement de la page 6 avant d'acheter la moindre once d'or.

Il existe de multiples manières d'investir dans l'or. Vous apprendrez à choisir celle qui correspond le mieux à votre objectif.

  • Vous découvrirez la réalité —somme toute assez simple— derrière les mots barbares des investisseurs professionnels : certificats, futures, forward, trackers, swaps, leasings... Et comment ceux-ci créent de l'or qui n'existe pas et essaie de vous le revendre (page 8).
  • Vous découvrirez aussi les acteurs de référence du marché de l'or, ceux en qui vous pouvez faire confiance ainsi que leurs spécificités. À la fin du dossier vous saurez lequel choisir.
  • Vous apprendrez pourquoi votre banque n'est sans doute pas le meilleur endroit pour acheter de l'or... Et irez directement chez les prestataires de votre banque sans avoir à lui donner une commission importante.
  • Vous apprendrez à lire facilement les frais de ces prestataires (page 9).
  • Vous ferez aussi la différence entre les pièces d'or, les lingots et lingotins.
  • Vous apprendrez ce que change la loi Hamon de 2015 sur l'achat et la vente d'or (page 12).
  • Page 14, ne ratez pas ce conseil simple mais essentiel pour bénéficier d'une fiscalité avantageuse.
  • Je vous livrerai aussi le secret de la "pièce" que vous pouvez revendre sans payer d'impôt sur la plus-value (page 16) ;
  • Je vous livrerai un autre secret que je ne dirai jamais même à mes plus proches amis et familles et vous comprendrez pourquoi. (Page 14)
  • Vous découvrirez les 7 règles essentielles pour conserver de l'or et tout objet précieux chez vous (vous ne lirez la n°5 nulle part ailleurs)

J'ai passé près de 3 semaines pour réunir toutes les informations essentielles et rien qu'elles dans un dossier pratique, complet et agréable à lire de 16 pages : L'Or, la monnaie millénaire

Je voudrais vous envoyer ce dossier aujourd'hui même.


2e CONSEIL : Ayez d'autres devises en poche

L'Euro a déjà perdu 30% face au Dollar américain ces 3 dernières années. Si vous aviez placé un peu de vos économies en dollars vous auriez obtenu un rendement de 10% avec un placement entièrement liquide et peu risqué.

Il ne s'agit pas d'ouvrir un compte chez un courtier et de jouer aux apprentis traders (je vous le déconseille fortement).

Ce n'est pas de la spéculation, simplement une assurance contre la crise européenne.

Il suffit d'ouvrir un compte courant dans une devise étrangère et d'y laisser un peu d'argent en vérifiant de loin en loin l'évolution du taux de change.

Encore une fois, cette stratégie toute simple vous aurait rapporté 10% par an ces 3 dernières années simplement en plaçant de l'argent sur un compte courant en dollars.

Malheureusement, il est peu probable que votre conseiller financier vous parle d'une stratégie aussi simple et peu coûteuse : ce n'est pas son intérêt, ni celui de la banque.

Il existe pourtant 5 manières de mettre en place cette stratégie, chacune ayant ses avantages spécifiques.

Selon ce que vous recherchez, vous pourrez privilégier une solution plus ou moins souple, plus ou moins coûteuse et plus ou moins robuste.

J'ai réuni ces 5 solutions dans un dossier pratique : Devises, votre assurance en cas de crise de l'Euro.

Vous y découvrez :

  • Le premier moyen, le plus simple, tellement évident que l'on n'y pense même plus... (page 8)
  • Pourquoi les conseillers financiers n'appliquent pas la première règle de prudence en investissement lorsqu'il s'agit de leurs clients (page 2);
  • Éviter de finir "comme les emprunts russes"qui ont ruiné 3 millions de famille au début du XXe siècle (page 5) ;
  • Vous découvrez l'application qui vous permet d'ouvrir en quelques minutes un compte au Royaume-Uni (en dehors de la Zone Euro) aussi bien en dollars qu'en livres sterlings ou euros (page 15).
  • Vous apprendrez comment ne plus jamais payer les frais de changes déraisonnablesque vous imposent les banques (page 16) ; 
  • Vous lirez page 7 la confession choquante du PDG d'une des plus grandes banques françaises ;
  • Vous découvrirez les services très utiles que les banques ne proposent... que dans certaines régions de France bien particulières (page 11).

Je vous propose de recevoir immédiatement ce dossier grâce au lien au bas de ce message.

Je vous propose également de vous envoyer immédiatement ce dossier.

À ma connaissance ces 2 dossiers pratiques  "Devises : votre assurance contre la crise de l'Euro" et "L'Or, la monnaie millénaire" regroupent les informations essentielles pour vous protéger.

 

Qu'est-ce qui mettra le feu aux poudres?

Les événements majeurs comme un effondrement de l'Euro ne se déclenchent pas de manière prévisible.

Prenez l'exemple des Printemps Arabes. Ces révolutions ont renversé 4 gouvernements, enclenché des guerres civiles et conduits à des émeutes dans douze autres pays... C'est par un petit vendeur de fruits qui s'est immolé que tout à commencé.

Quand toutes les conditions sont réunies, comme c'est le cas aujourd'hui avec l'Euro, il n'y a pas besoin d'un événement majeur pour mettre le feu aux poudres.

C'est toujours inattendu au contraire.

La déflagration de la Première Guerre Mondiale a démarré à 1 000 km des centres névralgiques de l'Europe par l'assassinat d'un prince sur fonds de terrorisme indépendantiste local.

Qu'est-ce qui mettra le feu aux poudres et quand... Nul ne le sait, et ce ne sont pas les grands médias qui vous mettrons la puce à l'oreille.


Cette enquête n'est qu'à son commencement...

Tous les jours, nous essayons de mettre les points sur les "i", nous reconstituons les puzzles à partir des pièces que nous fournit l'actualité. Nous déjouons les enfumages médiatiques.

En particulier, je voudrais vous donner l'opportunité de recevoir également Le Delamarche, journal  mensuel impertinent, politiquement incorrect et économiquement juste.

Ce journal est rédigé par Olivier Delamarchequi lui a donné son nom en caution.

Il y couche sur le papier tout ce qu'il ne peut pas dire en 9 minutes sur BFM.

C'est une lecture pour ceux qui veulent plus que l'information en disque rayée des chaînes de TV.

C'est une lecture pour ceux qui veulent comprendre par eux-même plutôt que de répéter les messages de communicants manipulateurs. 

C'est une lecture rafraîchissante qui ne s'encombre pas de politiquement correct mais qui vous fera découvrir mois après mois :

  • Comment décrypter les déclarations et les chiffres des politiques, banquiers et instituts de statistique (savez-vous comment on bidonne un chiffre d'inflation ? Par exemple en France l'INSEE considère que le coût de votre logement, charges comprises, représente à peine 10% de vos dépenses) ;
  • Comment éviter les fausses bonnes idées en matière d'investissement ;
  • Comment ne pas se faire enfumer par les médias comme lors de l'élection de Trump aux États-Unis ou sur le Brexit (par exemple les banques centrales dans le monde font plus confiance à la Banque d'Angleterre qu'à la BCE).

 

Ce ne sont que quelques exemples parmi tant d'autres. Et d'ailleurs voici ce que les lecteurs en disent eux-même :

Pascal P. a écrit récemment : "J'ai lu (devore) vos dossiers avec le plus grand interet"

René  D. m'a envoyé ce commentaire après s'être abonné : C'est tout simplement une grande bouffée d'air frais.

Ladislas L a écrit : Olivier, votre dossier est exceptionnel, comme une grande claque. Je suis très très impressionné par ce premier numéro.

Fred T. : Vous faites un super boulot, très sérieux et rationnel... et toujours une pique d'humour au bon moment.

Et  Véronique S. : J'ai l'impression que ce journal c'est un premier pas dans la bonne direction...

Ce que vous trouvez dans le journal de Delamarche n'existe nulle part ailleurs. Depuis 10 ans qu'Olivier Delamarche intervient sur BFM Business, c'est la première fois qu'il a décidé de partager ses connaissances aussi ouvertement et intimement.

Mais ATTENTION, ce service n'est pas pour tout le monde. Il n'est disponible que pour ceux que cela intéresse sérieusement.

Je n'ai déjà pas tellement envie d'envoyer 3 dossiers exceptionnels, Le Delamarche d'avril — L'Euro est mort, Le dossier pratiques sur l'or et celui sur les devises,  à n'importe qui.

Mais je n'ai pas non plus de place pour tout le monde. Car l'abonnement au Delamarche ne vient pas seulement avec ses dossiers cadeaux, il vous donne également accès à une série de web-conférence exclusives que nous animons Olivier Delamarche et moi-même.


Posez vos questions en direct à Olivier Delamarche

Les lecteurs du Delamarche sont invités à participer à un événement EN DIRECT tous les deux mois, très simplement avec une connexion Internet depuis leur ordinateur ou tablette, et poser leurs questions directement à Olivier et moi-même.

La prochaine conférence à lieu mercredi prochain à 19h

Alors si vous voulez un conseil, n'attendez pas pour vous inscrire.

Je vous invite à rejoindre aujourd'hui les lecteurs du Delamarche vous recevrez immédiatement sur votre boite email :

  • Le Dossier Pratique du Vaillant Petit Économiste n°1 : L'Or, la monnaie millénaire
  • Le Dossier Pratique du Vaillant Petit Économiste n°2 : Devises, votre assurance contre la crise de l'Euro
  • Le numéro spécial du Delamarche : L'Euro est mort
  • Un an d'abonnement au Delamarche(12 numéros) 
  • Votre accès exclusif aux conférences en ligne avec Olivier Delamarche (6 conférences).

Séparément, les dossiers et conférences seraient vendus entre 250€ et 500€. Facilement.

L'accès complet pour 12 mois au journal de Delamarche et tous les avantages ci-dessus coûte 99€.

Néanmoins pour vous remercier de m'avoir lu jusqu'ici et de votre intérêt dans notre démarche, je souhaite vous offrir une réduction importante et vous faire bénéficier d'un tarif spécial de 59€.

Vous ne prenez aucun risque : je vous fais aussi bénéficier de ma garantie de satisfaction pendant 3 mois. Si quelque chose ne va pas, il vous suffit de nous appeler ou de nous envoyer un message et nous vous rembourserons immédiatement.

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À votre bonne fortune,

 

Olivier Perrin,

Le Vaillant petit économiste

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