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Voilà Comment Vous Préparer Contre le Prochain Choc Économique


Bonjour, je m’appelle Henri Bonner.

Vous et moi, nous allons bientôt nous trouver face à un événement grave au sein de l’économie de la France.

Cet événement arrive très rapidement, même si nos dirigeants ne disent rien.

Nous sommes peut-être le seul groupe, moi et mes collègues, à dire franchement aux Français la vérité de cette situation.

Vous voyez, notre groupe, Agora, a aidé des milliers de lecteurs au cours des deux dernières décennies à éviter les plus grands dangers financiers, et à s’y préparer.

Grâce à nos alertes et nos prédictions, nos lecteurs ont pu anticiper certains des grands événements troublants de ces dernières années, telles que la crise financière de 2008 ou la chute des actions internet en 1999.

Nous avons non seulement montré à nos lecteurs que ces crises étaient inévitables, nous leur avons également montré comment en profiter financièrement pour augmenter leur patrimoine.

Dans tous le cas où nous avons émis une grande prédiction importante pour l’économie de la France, beaucoup de gens ont refusé de nous écouter, parce que nos prédictions étaient trop dures à accepter.

Cependant, nous avons tout de même décidé de mettre cette alerte devant le grand public, parce que l’événement financier que nous anticipons en ce moment est le plus important que nous ayons discerné depuis la création de notre boîte.

Nous avons passé des centaines d'heures et dépensé beaucoup d'argent pour l'étudier.


Nous voyons maintenant que cette crise pourrait entraîner des conséquences dévastratrices pour des millions de Français.


Ces événements toucheront même jusqu’aux fondements économiques du pays, transformant soudainement notre façon de vivre.


D’un jour à l’autre, nous pourrions voir grimper subitement les prix des choses essentielles, puis les magasins fermer tout simplement leurs portes.


Vous irez retirer du liquide mais trouverez la borne éteinte.


Vos chèques seront refusés parce que votre banque ne parviendra plus à fournir l’argent pour le paiement.

Vous verrez également des conséquences telles que les poubelles qui s'entassent en bas de chez vous, les stations-essence éteintes et fermées, les hôpitaux refusant de traiter les patients, et les pharmacies tomber à court de médicaments.

Vous observerez tous ces événements en raison d’un changement simple qui va prendre place au sein de notre économie, mettant notre façon de vivre en jeu.


Vous ne pourrez soudainement plus accéder à votre propre argent; vous ne recevrez plus votre pension de retraite; et vous ne pourrez plus payer vos factures, ni vos courses.

Quel est l’événement qui risque de briser les fondements-même de la France?


Vous voyez, cet événement est lié à la crise qui s’est déroulée en 2008, et aux actions qu’ont pris nos dirigeants afin d’essayer de réparer le problème.


Vous l’ignorez peut-être, mais notre économie toute entière était sur le point de s’effondrer en 2008 à cause des faillites qui prenaient place dans le système financier mondial.


Nos plus grandes banques se sont préparées pour la possibilité d’un choc dévastateur, en bloquant par exemple certains de leurs fonds.


Pendant ce temps, les autorités ont réagi en injectant une quantité massive de liquidités -- une quantité sans précédent dans notre histoire -- au sein de notre économie, et en baissant nos taux d’intérêts vers des niveaux ultra-faibles.


Nous n’avions jamais connu de crise financière de cette envergure, ni de réaction aussi massive de la part des autorités.


Mon objectif en vous écrivant ce message est de vous dire une chose:

Nos problèmes au sein de l’économie qui ont causé la crise financière de 2008 ne sont pas résolus, et sont sur le point d’entraîner un second effondrement que nous estimons être 10 fois plus violent que la crise qui s’est déroulée en 2008.


Vous ignorez peut-être à quel point les effets de la crise de 2008 auraient pu s’avérer terribles.


Nos dirigeants sont intervenus en injectant des centaines de milliards d’euros dans le système.


Cependant, nous n’avons pas réglé le problème; nous l’avons seulement reporté à plus tard.


Vous allez découvrir dans un instant pourquoi nous sommes convaincu que ces événements se trouvent tout près.

Sachez cependant que ce que vous allez lire pourrait vous choquer. Soyez prévenu.


Mon objectif en vous délivrant ce message n’est cependant pas seulement de vous montrer le danger dans lequel nous sommes.


Vous allez découvrir ce que vous pouvez faire tout de suite afin de vous préparer vous-même face à ce danger, afin de protéger votre famille et vos finances, et même de bénéficier potentiellement des ces événements.

Pour cela, vous trouverez plus loin quelques unes des mesures que nous mettons en place personnellement, moi et mes collègues, afin de nous y préparer.

Vous pourrez suivre ces mêmes étapes, qui sont simples et accessibles.


Afin de comprendre ce qui se prépare dans notre pays, vous devez d’abord comprendre quelque chose d’important à propos de notre économie.


Notre pays, notre économie, et notre gouvernement dépendent tous de la dette pour fonctionner.


Nous avons émis une quantité massive de dettes au cours des 30 dernières années, et ce sont toutes ces dettes qui font maintenant fonctionner notre système économique.


Vous allez au supermarché et vous faites vos courses, ou vous allez au distributeur pour retirer, et ce sont toutes ces dettes qui vous permettent de réaliser ces transactions, aussi simples qu’elles soient.

Vous devez comprendre que notre système économique actuel, et notre mode de vie en France, ne peuvent pas exister sans toutes ces dettes.


Si subitement notre dette subit une crise importante, soit parce que nos créanciers craignent de ne pas être remboursés, ou parce que le marché créancier se retourne contre nous, alors nous verrons subitement notre façon de vivre changer.

Nous verrons les prix pour les choses de base grimper rapidement, parce que les dettes que nous émettons afin d’importer ces biens seront dévalorisées.

Nous aurons tout à coup beaucoup plus de difficultés à nous procurer des choses très basiques.

Nous pourrions même perdre notre place en tant que pays développé, tant cette crise sera sévère.

Imaginez les autoroutes vides parce que le carburant a disparu des stations-essence.

Imaginez des villes complètement sombres, sans aucune lumière parce que l’électricité ne fonctionne plus.

Imaginez que les supermarchés n’arrivent plus à payer leurs livreurs pour remplir leur stocks.

Imaginez que les fonctionnaires ne voient plus leur virement de fin de mois arriver dans leur compte bancaire, et qu’ils décident de bloquer l’accès aux trains, ou aux aéroports.

Vous pensez peut-être que nous exagérons les effets potentiels de cette crise, mais ce sont les effets incontournables d’un effondrement de ce genre dans la valeur de notre dette.

Nous serons subitement obligés de réajuster radicalement nos niveaux de vie parce que l’élément critique qui fait fonctionner tout le système, notre dette, sera en train de s’écrouler.

Vous pensez peut-être que nous avons depuis longtemps réparé le problème de la dette dans notre économie, mais nous n’avons pas réellement réglé ce problème.

Lorsque ces soucis feront surface de nouveau, ce qui est une certitude, alors nous allons nous trouver dans une situation bien plus grave que nous n'anticipons.

En réalité, nous avons environ doublé la quantité totale de dettes que nous devons rembourser depuis 2007, et nous avons réussi à garder le train sur les railles et émettant constamment plus de dettes, et en repoussant le remboursement de notre dette toujours plus loin.

Nous pouvions nous permettre de continuer de cette façon parce que nous avions des taux d’intérêts toujours de plus en plus faibles sur nos dettes pendant 30 ans.

Lorsque l’une de nos dettes arrivait à maturité, nous la remboursions en émettant une nouvelle dette pour le même montant.

Nous continuions de cette manière, en empilant toujours plus de dettes sur nos comptes afin de combler nos déficits.

Maintenant, nous arrivons enfin au point où nous ne pourrons plus continuer de cette manière, et, le plus inquiétant, nos créanciers sont en train de s’en apercevoir.

Nous allons être forcés de nous tourner vers des méthodes extrêmes afin de retarder encore plus l’inévitable ou bien d’éviter notre obligation de rembourser.

En vérité, que nous le voulions ou non, nous n’allons pas pouvoir rembourser toutes les dettes que nous devons actuellement rembourser.

Même si nous voulions le faire afin de satisfaire nos créanciers, nous n’aurions pas suffisamment d’argent disponible, loin de là.

Nous serions obligés de vendre une grande partie de patrimoine français aux étrangers, réduire dramatiquement les dépenses de l’État, et taxer à près de 100% les revenus des Français.

Même si nous voulions entreprendre ces mesures, nous ne réglerions pas le problème fondamental.

Notre économie est si dépendante de la dette en ce moment que nous ne pouvons pas commencer à la réduire sans causer des conséquences dévastatrices pour notre économie.

Pendant ce temps, nos banques verront soudainement leurs actifs s’effondrer en valeur, et personne ne voudra faire d’emprunt, ni en obtenir.


Votre compte en banque sera subitement fermé, et votre argent sera bloqué.

Vous ne pourrez pas obtenir votre propre argent quoi que vous fassiez.

Nos dirigeants se préparent déjà à mettre en place des mesures extrêmes dans l’objectif de garder le train sur les rails un peu plus longtemps.


Par exemple, ils viennent d’instaurer des règles permettant à l’État de saisir les comptes bancaires, et même de réduire arbitrairement la valeur de votre compte en banque, dans l’objectif de “stabiliser le système.”


Nos dirigeants pensent sûrement qu’ils pourraient tout simplement nationaliser tout le système bancaire puis garantir tous les prêts et crédits avec les dettes de l’État, mais cette intervention ne fonctionnera qu’un certain temps.

Après tout, notre gouvernement a besoin d’émettre des dettes s’il veut garantir ces paiements, et personne ne voudra les acheter.


Bien sûr, nos dirigeants ont déjà songé à la solution: Demander l’aide de Bruxelles, qui fera en sorte que la banque central européenne rachète la quantité massive de nouvelles dettes françaises, permettant au gouvernement français de sauver son système bancaire.


Cependant, même cette mesure de dernier recours ne peut pas fonctionner à terme, parce que la quantité de dettes que la BCE serait forcée de racheter pour stabiliser le système français dépasserait de loin toutes ses interventions passées.


Au lieu de stabiliser le système, une telle création monétaire pousserait les taux d’intérêts vers le haut en faisant massivement grimper l’inflation dans notre pays, ce qui aggraverait encore plus la situation.


Bien sûr, nous ne pouvons pas savoir exactement comment réagiront les autorités, mais ce ne serait pas surprenant de voir des nouvelles mesures visant à forcer les personnes ordinaires à mettre leurs épargnes dans les obligations de l’État.


Nous pourrions aussi voir, à court terme, de nouveaux programmes visant à réduire massivement les dépenses de l´État, et à réduire ses déficits, mais le plus probablement, ces mesures seront de courte durée.

Tôt ou tard, nous verrons probablement les autorités françaises, puis la banque centrale, prendre le contrôle du système bancaire français afin d’essayer en vain d’empêcher son effondrement.


Notre gouvernement lui-même perdra alors toute source de financement, parce que sa dette aura été complètement dévaluée.


De nombreux autres gouvernements ont fait face à des situations de ce genre, et ont pris des mesures extrêmes pour essayer de s’en sortir, mais jamais à l’échelle que nous voyons ici.


Nous avons plus de 5 000 milliards d’euros de dettes à rembourser, lorsque vous additionnez les dettes de l’État et les dettes des entreprises et des ménages, et toute cette dette nous a permis de vivre avec notre niveau de vie actuel.


Cependant, cette dette n’a de la valeur que parce que nos créanciers pensent qu’ils vont être remboursés.


Cependant, si en réalité nous ne pouvons supporter cette dette qu’en émettant toujours plus de nouvelles dettes, alors nos créanciers vont prendre peur un jour ou l’autre.


Si subitement, personne ne veut nous faire d’emprunt, alors nous serons incapables de payer nos créanciers existants, et la valeur de nos dettes chutera brutalement.


Nous verrons toute notre façon de vivre s’arrêter -- vous ne pourrez plus faire vos courses, plus payer vos factures, plus trouver d’essence, et le gouvernement ne pourra plus payer ses médecins ni ses policiers.


Tout à coup, vous verrez peut-être des gens vandaliser ou piller les magasins parce qu’ils n’ont plus d’argent pour acheter quoi que ce soit, et vous verrez des démonstrations massives paralyser les grandes villes.

Que ferez-vous quand notre pays sera face à une telle situation?


Mon objectif en écrivant ce message n’est pas de vous faire peur, mais de vous montrer comment vous pouvez vous préparer face à ces événements.


Afin de vous aider à vous préparer, nous avons mis au point un ouvrage qui est dédié à essayer de vous aider, rassemblant tous nos conseils et l’analyse de notre groupe sur cette crise.


Ce livre s’intitule La France en Faillite: Votre Plan de Survie.


Nous ne sommes pas les seuls à alerter de la possibilité d’une crise dans le marché financier.

Cependant, à ce que je sache, vous ne trouverez rien de ce calibre dans aucune librairie.

** Comment mettre votre argent et votre épargne à l’abri des mains de l’État.

Dans une situation où les autorités voudront à tout prix s’emparer de votre argent, vous ne pourrez pratiquement rien faire afin de vous protéger.

Vous devez agir dès maintenant si vous voulez vous protéger contre ce danger.

Nous ne parlons pas uniquement des mesures que le gouvernement va prendre afin de se servir dans votre compte bancaire, mais aussi des mesures qui vont affecter votre pouvoir d’achat pendant que l’inflation repart massivement à la hausse,


Vous devriez commencer à mettre en place ces quelques mesures simples dès maintenant afin de vous en protéger.

Vous pouvez acheter de l’or, bien sûr, qui pourrait vous servir de moyen de protection contre l’inflation.

Vous pouvez également conserver une certaine somme en or chez vous, en cachette, ou même dans un casier bancaire à l’étranger.

Vous disposez de services que vous pouvez utiliser afin de stocker votre or à l’étranger, où les autorités auront beaucoup plus de mal à le saisir.

Cependant, conserver une partie de votre argent en or n’est pas le seul moyen que nous vous recommandons afin de mettre votre argent à l’abri.

Vous en apprendrez beaucoup d’autres dans l’ouvrage spécial que nous avons préparé pour vous aider.

** Comment préserver votre patrimoine en temps de crise.

Lorsqu’un pays se retrouve dans une situation comme celle-ci, les effets sur les marchés-actions, sur les prix immobiliers, et même sur vos épargnes “garanties” par une institution financière peuvent être en danger.

Parmi les mesures extrêmes que prendront les autorités en temps de crise, nous verrons probablement la saisie des épargnes privées, dont beaucoup sont conservées sous forme d’assurances-vie.

Environ 15 millions de Français utilisent les contrats d’assurance-vie comme manière secondaire de financer leur retraite.

Cependant, si nos institutions financières voient leurs actifs s’effondrer en valeur, ces contrats pourraient subitement être bloqués.

Le gouvernement a déjà fait passer une loi, en septembre 2016, spécifiquement créée afin de pouvoir bloquer ces contrats.

Vous verrez dans ce livre des mesures qui pourraient vous permettre de protéger votre patrimoine, et même de générer des gains importants, dans une crise telle que je le décris ici…

** Comment générer une fortune sans toucher aux actions, ni aux créances.

Non, nous ne parlons pas non plus de la vente à découvert, ni des options, ni d’aucun autre produit compliqué de ce type.

Vous découvrirez dans cet ouvrage des conseils très spécifiques afin de vous aider à utiliser une manière particulière de générer des gains, qui est actuellement utilisée par certaines des familles les riches de France, mais que 99% des gens ne possèdent pas.

Pourtant, vous pouvez vous munir de cet actif pour un prix relativement abordable, si vous décidez de préparer à temps.

** Comment investir votre argent dès maintenant pour produire des gains.

Même si tout ce qui se produit comme résultat de ces événements est une inflation modérément élevée, vous pourrez tout de même augmenter la taille de votre patrimoine grâce à l’approche que nous décrivons dans ce livre.

En période de crise, ces conseils peuvent être particulièrement critiques étant donné tout ce qui peut se produire, y compris les faillites, en temps de crise.

Certains des investisseurs les plus connus de l’histoire ont créé leurs fortunes en investissant spécifiquement à des moments comme celui-ci.

Du coup, vous apprendrez comment, en suivant des conseils très précis, vous pourriez tirer des gains incroyables d’une situation comme celle d’aujourd’hui.

Nous voyons déjà les marchés commencer partir en ce moment vers le bas, et beaucoup d’investisseurs commencent à sortir leur argent des marchés.

Vous pourriez donc avoir une opportunité exceptionnelle dans certains types d’actifs très précis.

Vous découvrirez comment repérer ce genre d’actif, et beaucoup plus, dans l’ouvrage exceptionnel que vous pouvez recevoir dès maintenant.

** Comment mettre votre famille à l’abri d’une crise financière et économique de ce calibre.

Si nous subissons subitement une crise de ce genre, vous ne pourrez peut-être plus dépendre sur des services de base, comme le courant électrique, le chauffage, ou votre station-essence.

Pour vous aider avec des conseils pratiques, nous avons mis au point une série de conseils et d’étapes que vous pouvez appliquer tout de suite.

Même si les événements ne deviennent pas aussi extrêmes que nous le prévoyons, ces méthodes pourraient vous aider à réduire tout de suite vos factures d’électricité, de chauffage, et vous aideront à épargner sur votre panier de courses.

Vous n’aurez pas non plus besoin de partir vivre au milieu de nulle part afin d’échapper au danger.

Vous pourriez mettre en pratique certains de ces conseils sans jamais quitter le lieu où vous vivez actuellement.

Vous trouverez tous les détails sur nos conseils à ce sujet décrits dans cet ouvrage.

Vous trouverez tous nos conseils et notre analyse décrivant les origines de cette crise, et ce qui va causer son déclenchement tout bientôt, écrits de manière très claire et accessible dans ce livre.

Faisant 96 pages, ce document vous apportera une valeur sans égale en termes de votre capacité à résister à ces changements, en protégeant votre façon de vivre.

Si vous n’êtes pas convaincu que notre pays s’approche de quelque chose de très sérieux…

Réfléchissez une seconde aux mesures que nos dirigeants mettent un pace en ce moment:

Une nouvelle loi qui permet de bloquer votre accès à votre compte en banque a été établie en janvier 2016.

Une loi similaire affectant les assurances-vie a été mise en place en septembre dernier.

D’autre part, les autorités ont déjà interdit l’utilisation de l’argent liquide pour les transactions de plus de 1 000 euros.

De plus, votre banque est obligée de vous signaler pour toute demande de retrait de plus de 10 000 euros.

Nous recevons même de nombreux témoignages de gens qui ont essayé de faire un retrait, mais ont été refusés en raison des nouvelles règles.

En d’autres termes, vous pourriez rencontrer beaucoup d’obstacles à obtenir votre argent avant que votre banque ne fasse faillite.


Si vous n’êtes pas convaincu que ces mesures signalent quelque chose de sérieux, pensez aux mesures que nous avons mis en place pendant l’une des périodes les plus noires de notre passé:

Oui, notre gouvernement a pris des mesures identiques pendant l’Occupation, sous le Régime de Vichy.

Consultez le rapport fait par un professeur d’histoire de l’Université Libre de Bruxelles, Kim Oosterlinck, en association avec l’Université de Rutgers, sur les mesures prises par le Régime de Vichy afin de contrôler le secteur financier:

“La Banque de France a participé à financer la dette française en utilisant ses branches afin d’aider à vendre les obligations. En même temps, les banques, les banques d’épargnes, et la Caisse des Dépôts étaient sous pression d’acheter les bons de l’État. En résultat, leur activité principale a cessé d’être la création de crédits immobiliers et de crédits commerciaux, mais l’achat de la dette publique. Selon le ministre des finances français, M. Bouthillier, les plus grandes banques se considéraient comme des agents du Trésor français, et non des participants dans l’industrie et le commerce.”

Aujourd’hui, la banque centrale européenne essaye de contrôler les taux d’intérêts en rachetant les bons émis par le gouvernement. Selon Oosterlinck, nous avons mis en place ces mêmes mesures pendant la Seconde guerre mondiale:

“La Banque de France a significativement augmenté ses rachats de dettes dans les marchés à partir de 1938 (selon le compte-rendu de la Banque de France de 1941). Bien qu’ils n’aient jamais formellement déclaré cet objectif, le gouvernement, aidé par la Banque de France, semblait vouloir faire baisser les taux d’intérêts sur la dette en-dessous des 3%, alors que la quantité de dette émise explosait.”

De même, afin de maintenir artificiellement la valeur des obligations, ils ont contraint la population générale de les acheter au travers des banques et des institutions financières:

“Dès le début, les banquiers français ont compris qu’acheter les obligations de l’État était un choix politiquement judicieux. Les 13 et 14 juin 1941, le gouvernement a imposé des restrictions plus formelles afin de contrôler le secteur bancaire. Les banques devaient investir leur capital disponible dans des obligations à court-terme [de l’État]. En 1939, ces obligations représentaient environ le tiers de leurs actifs. En avril 1942, ils représentaient 80% de la valeur de leurs actifs, puis 90% de leurs actifs en fin 1943. Le rationnement des biens de consommation et le manque d’alternatives ont encouragé le public à mettre leur argent dans des comptes bancaires payant de très faibles intérêts.”

Bien sûr, une bonne partie de la population a tout de même résisté, en se tournant vers l’argent liquide.

Comme maintenant, les autorités ont limité l’utilisation de l’argent liquide, et découragé les retraits: “Afin de limiter le recours au marché noir et l’évasion fiscale, le gouvernement a essayé de s’assurer que toutes les transactions prenaient place par le biais du système bancaire. Des lois entrées en vigueur les 22 octobre 1940, 28 février 1941, et 17 novembre 1941 ont décrété que tout paiement de plus de 3 000 francs devait être payé par chèque.”

De plus, le gouvernement a mis en place une série de lois forçant les banques à révéler leurs actifs, pour qu’ils puissent plus facilement contrôler leurs placements:

“À leur arrivée à Paris en 1940, les Allemands ont créé une unité spéciale, appelée ‘l’unité de protection de la devise,’ qui a obligé les banques à déclarer leurs réserves en or et en monnaies étrangères. De plus, ils devaient déclarer leurs attaches financières à l’étranger, y compris leurs actions en bourse et leurs créances faites à l’étranger. L’armée allemande a mis le Dr. Carl Schaeffer au contrôle de la Banque de France, et à la tête d’un comité chargé de surveiller le secteur bancaire français.”

Vous reconnaissez là une grande partie des actions que prennent de nos jours nos dirigeants, sous le prétexte de vouloir “stabiliser” le secteur financier.

Ici en France, le Haut Conseil de Stabilité Financière prend exactement ces mêmes types de mesures, en imposant aux banques de dévoiler leurs actifs et en leur imposant de racheter des dettes de l’État français.

Tout dernièrement, avec le passage de la loi “Sapin 2,” le HCSF a étendu ses pouvoirs portant sur les assurances-vie.

Comme le rapporte L’argus de l’assurance, “Un amendement après l'article 21 du projet de loi relatif à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique, vise à renforcer et rendre plus contraignant les pouvoirs du Haut conseil de stabilité financière sur le secteur de l’assurance en cas de risque systémique.”

À la suite de la guerre, en 1944, l’État français a profité du changement de régime afin “d’essuyer l’ardoise,” en se débarrassant d’une grande partie de sa dette.

Pour ce faire, elle a dévalorisé la monnaie.

De 1945 à 1949, le nouveau gouvernement a réduit la valeur de l’ancien franc de 80% en 4 ans, le tout dans l’objectif de régler son problème d’endettement.

Bien sûr, comme aujourd’hui, une vaste partie de cette dette était entre les mains de gens ordinaires comme vous, qui avaient été forcés ou contraints de mettre leur argent entre les mains de l’État.

Étant donné l’effet destructeur que cette dévalorisation a eu sur les épargnes des Français, ce n’est pas surprenant que la pénurie alimentaire ait continué à exister pendant des années après la Libération, et que le rationnement ait continué jusqu’en 1949.

** Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes menacés par le problème de la dette.

Vous voyez, nous avons réussi à empiler plus de 5 000 milliards d’euros de dettes sur nos comptes nationaux, publics et privés, principalement parce que des taux d’intérêts étaient en baisse.

En 2016, nous avons seulement dépensé 44 milliards d’euros en intérêts pour des dettes publiques de plus de 2 200 milliards d’euros.

Pourtant, nous voyons maintenant que ces taux d’intérêts remontent, et pourraient décoler beaucoup plus haut.

Prenez par exemple notre dette à maturité dans 10 ans, qui est l’un des bons les plus fréquemments émis par le gouvernement français.

En septembre 2016, les intérêts sur ces obligations étaient autour de 0,1%.

Quelques mois plus tard, ces obligations paient des intérêts d’environ 1%, ce qui est une augmentation de 10 fois!

En d’autres termes, une obligation coûte 10 fois plus cher en termes d’intérêts qu’il ne coûtait en septembre dernier.

Cependant, cette tendance vient seulement de débuter, et ce ne serait pas surprenant de voir des taux de 3%, 5%, ou même 10% dans les prochains mois ou les prochaines années.

Si nous voyons des taux d’intérêts de ce genre, oubliez les taux ultra-faibles d’aujourd’hui, comme par exemple les taux de seulement 2% pour un crédit immobilier.

Vous paierez beaucoup plus cher, et vous trouverez plus difficile de trouver un emprunt.

De même, si vous essayez de vendre, vous trouverez plus difficile de trouver un acheteur. Nous verrons le même genre de ralentissement dû aux taux d’intérêts en hausse dans quasiment tous les secteurs de l’économie.

Nos dirigeants savent très bien que si les taux grimpent de trop, alors notre économie ralentira soudainement.

Étant donné que nous aurons aussi besoin de trouver vastement plus d’argent pour payer nos dettes, ce ralentissement économique sera peut-être ce qui causera finalement l’effondrement de la dette.

Pour cette raison, nos dirigeants veulent tout faire afin que nos taux restent très bas.

Nos taux sont restés très bas pour l’instant, malgré la création massive de dettes, parce que la population générale avait tendance à épargner une grande partie de son argent au lieu de le dépenser.

Dans une note publiée en juillet 2016, le président de l'Observatoire français des conjonctures économiques, Xavier Ragot, a noté qu’il “existe des facteurs de long terme, profonds et structurels, qui vont durablement peser sur les taux d'intérêts,” citant en particulier les épargnes des ménages.

Bien sûr, le gouvernement essaye de rediriger tout cette épargne vers sa propre dette afin d’empêcher que leurs coûts d’emprunts ne montent.

Lorsque finalement notre dette va commencer à chuter, une grande partie de cette épargne va s’évaporer.

Comprenez, tout notre système bancaire repose sur ces dettes.

Nous avons très peu d’argent réel dans notre économie -- environ 3% du total qui change de mains chaque année.

Donc 97% de notre économie fonctionne par le biais de transactions électroniques, de chèques, de transferts, et des paiements par carte.

Alors imaginez que, tout à coup, les Français soupçonnent que leur argent n’est pas vraiment en sécurité dans le système bancaire.

Ils feront exactement comme les citoyens américains, anglais, grecs, et turcs lorsqu’ils ont connu des situations similaires.

Ils iront droit aux banques et aux distributeurs afin de sortir leur argent en liquide.


Nous n’avons pas du tout les sommes nécessaires afin de permettre aux Français d’obtenir leur argent en liquide, même si le gouvernement le permettait.


Si vous prenez tout l’argent qu’il peut y avoir dans tous les distributeurs en France, dont on compte 67 000 machines disposant chacun de 150 000 euros au plus, vous avez environ 150 euros par personne.

Imaginez que nous avions subitement une panique bancaire, et que, dans tout le pays, les Français voulaient obtenir leur argent en liquide.

En quelques heures seulement, tous nos distributeurs seraient vides.

Vous pensez peut-être que tout cela n’est que “du vent,” mais nos dirigeants craignaient ce genre de situation exact pendant la crise de 2008.

Le directeur du Fonds Monétaire International, Dominique Strauss-Kahn, a commenté que “le coeur-même du système [était] en cause.”

Et de l’autre côté de la Manche, les dirigeants britanniques se demandaient si les machines à billets allaient être vidés par des citoyens paniqués.

Selon un rapport publié en 2009, les dirigeants britanniques demandaient un rapport toutes les heures sur la quantité de retraits aux bornes.

Dans plusieurs situations spécifiques, des banques ont fait faillite et ont dû fermer leurs portes, laissant leurs clients sans moyen de sortir leur argent.

Vous avez peut-être entendu parler des exemples de Northern Rock dans le Royaume-Uni, ou de IndyMac Bank en Californie, où cela s’est produit.

Ce que vous ignorez peut-être, c’est que la plus grande banque anglaise, la Royal Bank of Scotland, était à quelques heures seulement de la faillite.

Dans un appel téléphonique entre Tom McKillop, le chef de RBS, et Alistair Darling, le ministre du Trésor, le dirigeant de la banque a averti qu’ils étaient à “2 ou 3 heures près” de voir la banque s’écrouler.

De l’autre côté de l’Atlantique, plusieurs membres du Congrès américain ont même appelé leurs femmes pour leur donner une alerte:

D’aller retirer immédiatement le maximum d’argent possible du distributeur.

Ici en France, la femme la plus riche du pays, Liliane Bettencourt, a fait un retrait de 100 000 euros en liquide quelques mois avant le début de la crise de 2008.

Plus récemment, en 2014, elle a essayé de faire un retrait de 500 000 euros, qui a été refusé.

La banque aurait cité les nouvelles règles de l’État empêchant le retrait de sommes importantes en liquide.

Même si vous n’avez qu’une compréhension de base des matières économiques, vous pouvez vous rendre compte que notre système se trouve face à un problème sérieux:

Nos obligations, qui sont notre moyen de paiement réel, sont en déclin.

** Notre taux de chômage reste au-dessus des 10%!


En 2015, alors que le taux de chômage avait baissé de plus de 1% en Italie et de 5% en Espagne, notre taux de chômage a grimpé!

Selon la banque HSBC, “les créations d’emploi en France sont sévèrement à la traîne par rapport aux pays voisins. Le taux de chômage français, de 10,2%, ne semble toujours pas diminuer. Cette faiblesse pèse sur la compétitivité du pays et sur la consommation, expliquant en partie pourquoi l’économie française est sous-performante.”

Vous voulez savoir ce que pensent nos créanciers de la France?

C’est écrit en noir et blanc dans le rapport de HSBC:

“L’économie française est bloquée. Le secteur privé est plombé par la faiblesse de la demande, et les ménages s'inquiètent de leur capacité à obtenir un salaire adéquat. Ce qui pèse encore plus sur la demande.”

Quelle est la solution?

Selon les analystes chez HSBC, les salariés Français vont être contraints d’accepter des salaires plus faibles:

“Le coût élevé du travail en France nuit à la compétitivité de l’économie française. En effet, à la différence de ses voisins, la France n’a pas réussi à réduire l’augmentation du coût de la main d’oeuvre depuis 2008.”

** Notre plus grande entreprise nationale, EDF, pourrait faire faillite dans les prochains mois.

EDF a tellement de dettes, et continue à gaspiller tellement d’argent que son directeur financier, Thomas Piquemal, a démissionné, notant que:

“Si les choses avaient mal tourné, cela aurait été une faute professionnelle. Et je ne pouvais pas cautionner une décision qui risquait un jour d’amener EDF dans la situation [de la faillite].”

EDF est déjà terriblement endettée, mais le producteur électrique continue de dépenser de l’argent dont il ne dispose pas.

Tout dernièrement, EDF s’est engagée à la construction d’un nouveau réacteur en Angleterre.

Ce n’est pas seulement le financement du projet, coûtant 23 milliards d’euros, mais la technologie elle-même, qui pose problème.

Piquemal, un expert-comptable, a reconnu à quel point la décision de procéder avec ce projet était dangereuse:

“Fin 2015, EDF avait déjà investi 58 % de son patrimoine dans la technologie EPR. Avec Hinkley Point, cette part allait monter à 70 %. Mais qui investirait 70% de son patrimoine sur une technologie dont nous ne savons toujours pas si elle fonctionne ?”

Ce n’est pas surprenant que la valeur des actions d’EDF aient chuté de plus de moitié depuis l’introduction d’EDF en bourse en 2005.

Qui en est responsable? La réponse est évidente: Nos dirigeants ne savent pas comment gérer nos plus grandes entreprises nationales, et malmènent terriblement les actifs des contribuables.

Même la Cour des Comptes s’aperçoit que l’État est en train de détruire, par pure incompétence, les actifs du public.

Ils écrivent dans un rapport publié en janvier 2017 que:

“La multiplicité des objectifs poursuivis, souvent contradictoires, caractérise l’État actionnaire. Il en résulte des difficultés récurrentes que la Cour a, de nouveau, constatées. Elles conduisent à s’interroger sur l’efficacité de l’actionnariat public. Dans une économie de marché, l’intervention de l’État comme producteur de biens et de services marchands reste en effet discutée.”

En Acceptant de Recevoir Votre Livre, Vous Recevrez Aussi Un Rapport Mensuel de l’Un de Mes Collègues les plus Réputés

Lorsque vous accepterez de recevoir votre livre, vous recevrez aussi un dossier spécial, tous les mois, rédigé par un analyste que j’ai personnellement choisi pour participer à ce projet.

Vous recevrez donc tous les mois un dossier spécial, écrit par le Dr. Philippe Herlin, qui vous permettra de suivre nos dernières recherches sur les questions économiques, et politiques, qui vous touchent, et que vous devez connaître.

Vous reconnaissez peut-être de nom le Dr. Herlin, que vous auriez pu écouter sur BFM Business, France Culture, et de nombreuses autres stations radios et chaînes télés.

Vous auriez également pu lire ses commentaires dans Le Figaro, Le Parisien, Le Monde, et de nombreux autres journaux.


Vous ne pourriez pas demander un meilleur conseiller pour vous aider à suivre nos dernières recherches critiques, ici en France.


Vous pourrez grâce à ce dossier mensuel adapter votre gestion de patrimoine, et prendre des décisions financières importantes pour protéger votre argent et générer des gains.

Vous pourrez mettre en pratique de manière efficace les stratégies que vous allez découvrir dans mon livre, grâce à ces informations régulières.

Peu de gens ont vu le désastre de 2008 survenir en France, ni compris pourquoi notre système était voué à l’échec qu’il a connu.


Par contre, mon associé, le Dr. Philippe Herlin, a écrit 6 livres à son nom, et de nombreux articles, en commençant à la fin des années 1990, décrivant les grands changements dans l’économie française.

Aujourd’hui, le Dr. Philippe Herlin est professeur d’économie dans l’une des Universités les plus réputées en France.

Cependant, vous ne trouverez nulle part ailleurs le genre de choses qu’il partage avec notre cercle de lecteurs privilégiés.

Si vous désirez commencer à vous préparer face à la crise que nous avons décrit ici, commencez tout de suite à tester notre service de conseils et d’analyse, et de vous informer grâce aux dossiers que nous avon préparé.

Consultez également mon livre créé spécialement pour vous permettre de comprendre l’origine de cette crise, et pourquoi ses effets seront si dévastateurs.

Ici en France, nous voyons déjà les signes qu’un désastre pour notre dette est en cours.

Voilà le titre d’un article récent paru dans Fortune:

“Les Japonais Se Débarrassent d’Une Quantité Record d’Obligations Françaises”

Voyez, les Japonais, qui sont parmi nos plus grands créanciers, se sont séparés d’environ 1 580 milliards de yen (13,4 milliards d’euros) en obligations françaises en février 2017, dépassant un record établi en juin 2015.

Quand vous écoutez ce que disent nos politiciens, ce n’est pas surprenant qu’ils prennent peur.

Benoît Hamon, candidat du Parti socialiste à l’élection présidentielle de 2017, a proposé que nous refusions de payer au moins une partie de notre dette:

“[Il] faudra voir ce qu’on pourra rembourser et ce qu’on ne pourra pas rembourser,” a-t-il dit en février, le même mois où les Japonais se précipitaient pour se débarrasser de leurs obligations françaises, précisant que “[nous avons] une dette vis-à-vis des banquiers [étrangers] que nous pouvons tout à fait renégocier.”

Un commentateur pour La Tribune, Romaric Godin, rappelle que la France n’a pas renié sa dette depuis 1797, peu après la création de la République, mais explique que: “Les taux réels finiront par remonter, alourdissant à nouveau la facture [des intérêts], d'autant que, déficit budgétaire aidant, le poids nominal de la dette croîtra.”

Posez-vous la question suivante:

Est-ce que nous, en tant que Français, sommes vraiment invulnérables aux lois de l’économie et de la finance?

Moi, je ne crois pas.

Dans tous les cas de ce genre que je connaisse, où un gouvernement a essayé de régler ses problèmes par la dette, nous avons vu un désastre.

C’est ce qui va nous arriver à nous aussi.

Comme l’explique Philippe Chalmin, professeur d’histoire à l’Université Paris-Dauphine et membre du Conseil d’Analyse auprès du Premier ministre, “certes, en d’autre temps, il y avait déjà eu des faillites de banques ou d’institutions financières (aux États-Unis, la Continental Illinois en 1984, puis le système des Caisses d’épargne – Savings and Loans – en 1986), mais celles de 1929 et de 2008 furent presque systémiques en enclenchant un véritable effet de domino alors que les épargnants cherchaient désespérément de la sécurité.”

En début 2017, nos marchés-actions ont marqué des niveaux records.

Ici en France, l’indice du CAC 40 a franchi les 5 000 points pour la première fois depuis 10 ans. Et le marché américain, mesuré par le biais de l’indice du S&P 500, vient d’atteindre un niveau 50% plus élevé qu’en 2007.

Pourquoi s’en inquiéter?


Parce que ces crises surviennent quand personne ne s’y attend. Comme le dit Chalmin, “en 1929 comme en 2008, l’ultime étincelle qui mit le feu aux poudres est venue de la passion et de la folie des marchés.”

Les investisseurs savent que nous avons des problèmes très, très sérieux au niveau de nos obligations. C’est pour cela qu’ils essaient de se désinvestir des obligations françaises le plus rapidement possible.

La bonne nouvelle, c’est que j’ai trouvé plusieurs moyens qui vous serviront à protéger vos épargnes -- et même à multiplier la valeur de vos actifs financiers par 3 ou 5 fois dans les deux prochaines années.

De nombreuses personnes parmi mes amis, mes collègues, et même des membres de ma famille refusent toujours de se rendre à l’évidence de la situation.

Vous voyez, le “biais vers la normalité” est un phénomène récurrent dans le mode de pensée des êtres humains.

Ce biais vers la normalité se réfère à la manière dont nous réagissons instinctivement face à une crise.

Le biais vers la normalité encourage les gens intelligents à sous-estimer la possibilité d’un désastre et l’ampleur de ses effets.

En bref, les gens croient que, parce qu’un événement ne s’est jamais produit auparavant, cela ne va jamais arriver.

Nous sommes tous coupables de penser de cette manière… C’est notre nature.

Ce biais vers la normalité nous rend aussi incapables de réagir lorsqu’un désastre survient. En gros, nous avons beaucoup de mal à nous préparer face à une situation que nous n’avons jamais connue auparavant.

Ce biais vers la normalité est souvent responsable des morts préventibles dans des situations de catastrophe.

Par exemple, prenez les populations juives lors de la Seconde guerre mondiale.

Comme le rapporte l’historien Barton Biggs dans son livre sur les juifs d’Allemagne nazie:

“En fin de l’année 1935, 100 000 juifs avaient quitté l’Allemagne, mais 450 000 demeuraient dans le pays. C’étaient des personnes de familles aisées… et ils continuaient à penser, et à espérer, que le pire était passé.

“Un grand nombre d’Allemands juifs -- brillants, cultivés, cosmopolites -- sont restés passifs face à ce qui se passait. Ils étaient installés en Allemagne depuis si longtemps, et ils étaient si bien établis qu’ils n’arrivaient pas à croire à la situation qui se produisait.

“Ils pensaient que l’antisémitisme des nazis allait s’estomper, et que Hitler ne passerait jamais réellement à l’acte. Ils ont réagi trop lentement à la montée en puissance d’Hitler, pour des raisons parfaitement justifiées, mais tragiquement erronées.


“Les événements se sont déroulés bien plus rapidement qu’ils auraient pu l’imaginer.”

Nous voyons là l’un des exemples les plus tragiques du “biais vers la normalité” en application dans le monde réel.

Songez à ce qui se passait à ce moment-là. Les juifs étaient arrêtés, dévalisés, taxés, ou emprisonnés sans aucune justification.


Plus tard, ils ont été envoyés aux camps de concentration.


Leurs demeures et leurs commerces ont été expropriées.


Et pourtant, la plupart des juifs n’ont toujours pas quitté l’Allemagne nazie, parce qu’ils ne croyaient tout simplement pas que la situation pourrait se dégrader autant.

La Cour des Comptes, dans son rapport annuel de 2017, sonne l’alerte.

La Cour des Comptes prévient que le gouvernement repose ses projets financiers sur “des hypothèses de croissance optimistes, avec un retour de la croissance à 2,0 % en 2020.”


En plus, ils préviennent que la hausse des taux d’intérêts devrait jouer contre nous, expliquant qu’une “part significative de la modération de la dépense publique entre 2010 et 2015 provient de la baisse de la charge d’intérêts, sur laquelle il paraît peu prudent de compter désormais…”


Et nos voisins dans l’Europe?


Selon la Cour des Comptes, “la plupart des partenaires européens de la France ont un solde public moins dégradé et ont davantage freiné leurs dépenses publiques.”

Vous voyez: Nous sommes le seul pays européen à dépenser autant à déficit. C’est pour cela que nous sommes dans cette situation.

Notre déficit menace notre place dominante au sein de la zone euro.

Comme l’explique le journal britannique The Telegraph:

“La France -- la sixième économie du monde, et la deuxième plus grande de la zone euro -- peine à suivre depuis la crise financière. La médiocrité de sa performance est évidente dans les statistiques: l’économie française a grandi de 3% depuis 2008.

“Dans cette même période, l’économie allemande a grandi de 6%, celle de la Grande-Bretagne de 8%, et celle des États-Unis de 10%.

“La faible croissance de la France mène à des tensions politiques au sein de la zone euro.

“Son déficit est de 3,5% de son PIB, ce qui dépasse la limite des 3% pour les membres de l’euro. Sa dette publique représente 96% du PIB, et continue d’augmenter.

“Selon les règles de la zone euro, la dette publique est censée diminuer… Les membres plus économes de la zone euro, comme l’Allemagne, demandent à la France de réduire ses déficits.

“Les pays ayant moins d’influence au sein de la zone, comme l’Espagne, le Portugal, et l’Irlande, sont déconcertés par les exceptions qui sont accordées pour la France.”

Le journal note par ailleurs que les Français passent en moyenne 14% de temps en moins à travailler que les Anglais, ajoutant que “l’histoire de la France est ancrée dans un modèle économique socialiste… qui n’est pas prête d’être démantelée.”

** Des étrangers achètent nos grandes entreprises privées…

Rien qu’en 2015, des groupes étrangers ont racheté 3 des plus grandes entreprises françaises, dont Lafarge, l’une des seules multinationales françaises dans la construction.

Un groupe suisse a racheté la totalité de ses actifs en 2015.

Et la même année, Alstom a vendu une grande partie de ses meilleurs actifs au groupe américain General Electric, au prix de 13 milliards de dollars.

** L'un de nos plus grands exports, les produits de santé, sont en baisse...

Nous générons 10% de nos exports grâce à l’industrie des produits de santé.

Notre performance dans ce domaine est en baisse.

Depuis 2007, nous sommes passés derrière l’Allemagne, la Suisse, et l’Italie en valeur de nos exports de ces produits.

Entre 2009 et 2015, nos exports de produits de soins ont baissé de presque 20%.

Pourquoi?

Parce que le gouvernement, qui dispose de vastes pouvoirs dans le domaine, n’arrive pas à approuver assez rapidement les nouveaux produits.

Du coup, nous traînons derrière nos voisins en termes d’innovation, et les entrepreneurs sont forcés d’aller ailleurs pour fabriquer leurs produits.

** En un peu plus de 10 ans, la France sera rattrapée par le Mexique, puis la Turquie, affirme une boîte de prédiction macroéconomique, PwC, dans une présentation publiée en février 2017.

Ce groupe prévoit qu’en 2030 -- dans 13 ans -- notre pays ne sera plus parmi les 10 premières économies mondiales.

** Même notre culture semble avoir perdu tout espoir…

D’abord, le livre Le Suicide français, d’Éric Zemmour, paru en 2014, s’est vendu à plus de 500 000 exemplaires.

Ensuite, le livre Soumission publié en 2015, a été un best-seller.

L’auteur Michel Houellebecq décrit comment un Français du futur racontera notre époque:

“La France, comme les autres pays d'Europe occidentale, se dirigeait depuis longtemps vers la guerre civile, c'était une évidence ; mais jusqu'à ces derniers jours j'étais encore persuadé que les Français dans leur immense majorité restaient résignés et apathiques - sans doute parce que j'étais moi-même passablement résigné et apathique. Je m’étais trompé.”

** Notre pays est classé loin derrière nos voisins en termes de facilité à créer une entreprise…

Selon la boîte d’analyse la Fondation Héritage, notre pays est classé 72ème au monde en termes de liberté économique, loin derrière des pays comme l’Australie (#5), la Suisse (#4), ou l’Allemagne (#26).

Selon la Fondation:

“L’État [français] domine des secteurs majeurs de l’économie et demeure un actionnaire important dans un grand nombre d’entreprises semi-étatiques. Le gouvernement dépense plus de la moitié du PIB du pays, et le budget de l’État est déficitaire depuis longue date.

“Des mesures de relance variées ont détérioré les finances publiques, et augmenté le fardeau fiscal sur les contribuables français.”

** Notre secteur industriel est à la dérive…

Comme l’explique Le Monde, “l’emploi total a augmenté en valeur absolue en France depuis vingt-cinq ans, passant de 23 millions de personnes salariées et non salariées en 1989 à près de 27 millions en 2014.

“Pourtant, le nombre d’actifs dans le secteur industriel n’a cessé de décliner : plus de 1,4 million d’emplois ont été perdus… L’industrie n’emploie plus que 3,1 millions de personnes, et ne représente que 12 % de l’activité en France (hors construction), contre 20 % en 1989.”

** Des milliers d’agriculteurs française sont proches de la faillite…

Michel Masson, ancien président de la chambre régionale d'agriculture, a prédit en fin 2016 que:

“Si on n'a pas un geste fort du gouvernement, ce sont 15 à 20 % des exploitations agricoles qui vont disparaître d'ici 18 à 24 mois en région Centre.”

Que font les agriculteurs?

Nombreux d’entre eux vendent leurs terres… aux Chinois!

Une entreprise chinoise basée à Hong Kong a rachetée au moins 1 700 hectares de terres agricole situées dans l’Indre.

Pourquoi?

Parce qu’ils savent qu’un grand nombre d’agriculteurs français sont désespérément endettés, et prêts à tout pour lever de fonds -- même s’ils doivent vendre leurs terres à prix réduits.

Tout cela va bientôt mener à sa conclusion… et dans un délai bien plus court que ne le pensent la plupart des gens.

Au cours des 100 dernières années nous avons connu des crises de ce genre en Allemagne, en Russie, en Autriche, en Pologne, en Argentine, au Brésil, au Chili, en Ukraine, au Japon, et en Chine.

Aujourd’hui, je suis convaincu que nous aurons ce genre de crise ici en France.

Vous ne me croyez toujours pas?

Et bien, la vérité est que cette crise est déjà en train de se produire.

Selon un reportage récent par Europe1, un millier de communes françaises sont déjà en danger de faillite, et bien sûr, pour contrer le problème, ils vont directement dans les poches de leurs contribuables...

La commune d’Aix-en-Provence a augmenté sa taxe d’habitation de 6,1% en 2016, après les avoir déjà augmentés l’année d’avant. La ville de Nantes a augmenté sa taxe d’habitation de 6,5% et sa taxe foncière de 14,5%.

Et nous voyons ces impôts grimper de long en large dans les communes françaises… +11,9% sur les taxes foncières à Argenteuil… après 300 suppressions de postes afin de faire des économies... +10,6% pour les habitants de Lille… +10,6% pour Saint-Denis…


Et à Paris, la situation n’est pas meilleure...

Nos dirigeants ont tellement gaspillé sur des projets coûteux et irresponsables, qu’ils ont proposé de faire des économies en réduisant le chauffage aux piscines publiques!


Bien sûr, nos élus ont prétendu qu’ils cherchaient seulement à “réduire l'empreinte écologique” des piscines.

Même la maison d’analyse Standard & Poor’s a observé que les émissions de dettes par la ville de Paris étaient environ le double de ce qu’elle pouvait raisonnablement espérer rembourser.

La Maire de Paris, Anne Hidalgo, a récemment ajouté 1,5 milliards d’euros supplémentaires à son “effort d’investissement,” augmentant la taille de son programme à 10 milliards d’euros.

Regardez où se dirige cet argent obtenu à crédit…

Par exemple, en 2011, la Mairie de Paris, ainsi que de nombreuses autres villes françaises, ont commencé à installer des bornes de voitures électriques subventionnées par l’État.

Afin d’apaiser ceux qui ont osé remettre en question le financement du projet, ils ont même assuré que le service serait rentable dans les 5 ans, et peut-être avant.

Bien sûr, nous ne verrons jamais un centime de revenus.

Selon les estimations du groupe Bolloré, qui a reçu le contrat d’exploitation, Autolib produira des pertes d’ici 2023 s’élevant à 179 millions d’euros.

Dans un rapport des lieux, le journaliste Serge Federbusch explique que:

“les usagers d’Autolib’ eux-mêmes [...] se sont plaints [des] voitures crasseuses, souvent difficiles à réserver. Les kiosques installés à côté de certaines bornes ont été tellement vandalisés que certains ont disparu.”

La Maire de Paris dit vouloir “préparer l’avenir en investissant massivement” dans un communiqué de presse récent, et avec tous ces programmes à payer, la ville de Paris émettra encore 793 millions d’euros de dettes rien qu’en 2017.

Son cabinet compte dépenser 746 millions d’euros sur des travaux, 334 millions d’euros sur des acquisitions, 26 millions pour acheter des équipements et des machines, et 179 millions d’euros en subventions pour les logements sociaux…

Regardez ce graphique publié par la Mairie de Paris montrant sa au fil des années:

Depuis janvier 2010, Paris a quasiment doublé la taille de ses dettes, passant de 2,48 milliards en 2010 à 5,5 milliards d’euros en 2017.

Est-ce que vous lui feriez un emprunt avec un bilan pareil?

Pas étonnant que nos créanciers s'inquiètent.

Au cours des deux décennies d’existence de notre boîte, nous avons aidé des milliers de gens à prévoir des événements majeurs de ce type, et à s’y préparer.

Cependant, nous n’avons jamais été aussi certains que nous le sommes aujourd’hui sur la venue de cette crise.

Vous disposez aujourd’hui d’une opportunité afin de découvrir exactement comment vous protéger et vous préparer financièrement.

Mais ce n’est pas tout.

Comme nous l’avons mentionné auparavant, nous sommes un groupe de recherche et d’analyse, et nous effectuons une grand quantité de recherches sur l’économie, sur les marchés, et sur la finance pour nos lecteurs.

Donc, en plus de recevoir vos livres et vos dossiers, vous aurez également un accès préférentiel pour les opportunités d’investissement spécifiques que nous trouvons dans nos recherches.

Vous ne pouvez découvrir ces opportunités d’investissement privés que si vous êtes parmi notre cercle d’abonnés.

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Comme vous pourrez le constater, le prix que nous avons fixé pour ce livre et votre accès aux dossiers de Philippe Herlin est modique, accessible à tous.

Cependant, nous ne donnons pas d’exemplaires gratuit de notre livre La France en Faillite: Votre Plan de Survie, ni de nos autres recherches, parce que ces recherches sont prévus pour des gens sérieux.

Nous passons autant de temps à entreprises et les chiffres financiers parce que nous savons que notre cercle de lecteurs est fait de gens qui prennent leur avenir financier au sérieux.

En plus, parce que certaines des opportunités d’investissement que nous partageons sont particulières, et peuvent être risquées, nous n’avons aucun intérêt à les monter à n’importe qui. Nous voulons être certains que nous les partageons avec les bonnes personnes.

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Vous avez maintenant toutes les informations nécessaires pour prendre une décision -- le choix est à vous.

Non -- je préfère continuer comme si de rien n’était, sans me préparer, et sans me protéger.

Au cas où vous ne seriez pas tout à fait certain de ce que vous allez recevoir maintenant, permettez-moi de récapituler:

 

Source: Olivier Perrin le Vaillant petit économiste